• Pour y arriver j’agresse le moins possible mes cheveux :

    •  J’évite les brushing,  séchage naturel.
    • Aucune couleur ou mèche, je découvre mes premiers cheveux blancs … mais j’assume (pour le moment)
    • J’espace les shampoings et utilise des produits nourrissants dont je parlerais dans un autre article.
    • Je coupe les pointes au fur et à mesure

    Photo avant après la coupe des pointes en février 2014:

    Mon historique capillaire – Acte 4 épaissir ma chevelure

    Photo avant après la coupe des pointes en juillet 2014 :

    Mon historique capillaire – Acte 4 épaissir ma chevelure

    Bilan sur 1 an, à gauche Août 2014 à droite Août 2013 :

    Mon historique capillaire – Acte 4 épaissir ma chevelure

    En un an, je n’ai pas réussi a prendre en longueur mais par contre j’ai pris en épaisseur . Ma chevelure est redevenue uniforme et brillante.

     

    Il m’a fallu 2 ans et 8 mois pour passer de ça à ça :

    Mon historique capillaire – Acte 4 épaissir ma chevelure

     

     

    Il faut vraiment s'armer de patiente !


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  • Après la coupe courte d’Aout 2013, j’ai décidé de laisser pousser mes cheveux.

    Mon histoire capillaire – Acte 3 Un an de pousse

    Sur cette année de pousse on voit bien l’effet de l’été sur les pointes qui deviennes fines et transparentes, c’est pas très beau. J’ai toujours des anciennes mèches et des cheveux abimés par le lissage, ma chevelure n’est pas encore totalement renouvelée.

    Mon objectif et donc de redensifier ma chevelure.

    Je commence donc par une coupe.

    Mon histoire capillaire – Acte 3 Un an de pousse

    Beaucoup de mèches blondes sont éliminées mais il en reste toujours.

    Les cheveux ont meilleur mine.

    Bilan :

    Mon histoire capillaire – Acte 3 Un an de pousse


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  • Petite chronologie : La catastrophe du lissage a eu lieu en janvier 2012

    Il a fallu attendre le mois d’aout 2012 soit 7 mois pour pouvoir couper un max de cheveux abimés tout en ayant un minimum de tignasse sur la tête, oui, en janvier je me sentais pas d’assumer que 3 cm de longueur de cheveux, alors il a fallu que je patiente.

    Le seul point positif c’est que je ne perd plus de temps à sécher mes cheveux au sèche cheveux, ils sèchent naturellement ce qui est bien pratique, bien qu’un peut désagréable l’hiver…

    7 mois de cheveux bicolores aux pointes sèches, comme du foin,  que même un cheval refuserait de manger, illustration :

    Mon histoire capillaire – Acte 2 Ma tête bicolore

     

    Ce temps est révolu et je suis bien contente, c’était terrible de devoir expliquer pourquoi j’avais les cheveux dans cet état, et les gens qui se veulent rassurants « mais non ça ne se voit pas trop… » ouais tu parles ! Enfin c’est gentil quand même mais ma tête dans la glace je la vois bien, je ne suis pas aveugle…  Merci quand même à tous ces gens qui ont fait preuve de compassion, je vous embrasse !

    Voici la longueur après le passage chez le coiffeur, la coupe n’est pas au top, elle a fait ce quelle pouvait pour rattraper le coup, la texture des cheveux est beaucoup mieux.

    Photo du résultat :

    Mon histoire capillaire – Acte 2 Ma tête bicolore

    Après ces éprouvants 7 mois a assumer ma tête de toit de chaume, j’ai réfléchi sur le devenir de ma chevelure.

    Objectif numéro 1 : éliminer complètement les anciennes mèches et retrouver ma couleur naturelle. Fini les interventions chimiques sur mes cheveux, j’ai compris la leçon. J’ai redécouvert ma vraie couleur de cheveux et finalement elle est bien jolie.

    Objectif numéro 2 : Les rendre brillants, doux  et plein de vitalité pour que mettre mes mains dans mes cheveux ne me hérisse plus les poils ! (de ne plus faire de brushing et de traitements chimiques c’est miraculeux pour retrouver une chevelure saine !)

    Objectif numéro 3 : Retrouver ma longueur de cheveux.


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  • Je suis née blonde avec de belles boucles larges.

    En prenant de l’âge mes cheveux ont foncés et sont devenus plus ondulés que bouclés.

    Puis j’ai commencé à faire des mèches pour retrouver ma blondeur d’enfant.

    Au fil des passages chez le coiffeur, tous les deux mois, je suis devenue très blonde, ce qui m’aller à ravir. Mon compte en banque était délesté d’une centaine d’euros par passage mais quand on aime on ne compte pas.

    J’adore passer quelques heures chez le coiffeur à me faire dorloter (le meilleur c’est le massage du cuir chevelu) et lire des revues débiles le temps de pose de ces produits chimiques qui me piquaient les yeux. Un jour j’ai perdu un t-shirt, le produit avait coulé dessus, il était tout décoloré, ce t-shirt tout neuf a servi à faire le ménage…

    A part ça, j’étais plutôt satisfaite  et je n’avais aucune envie de rompre ce rituel beauté, jusqu’au jour fatidique ou, une amie, voulant gentiment m’offrir un cadeau de noël, s’est proposée de me faire un lissage brésilien. Et oui, vous comprenez, en plus de changer ma couleur de cheveux, je voulais que mes ondulations rebelles se transforment en cheveux lisses et soyeux. J’étais donc adepte du brushing, non pas que j’aime le faire, bien au contraire ça me saoul, mais j’aime bien être bien coiffée. On dit souvent que c’est la coiffure qui fait tout !

    Alors la proposition de mon amie c’était une aubaine, fini pour moi de perdre du temps à faire des brushings et bonjour cheveux lisses sans efforts !

    Sauf que ça c’est pas passé comme ça…

    Après la pose des produits de lissage se fus la catastrophe. 

    Mes cheveux sont morts, les produits chimiques ont brulé ma chevelure. Mes cheveux sont devenus extrêmement  secs, élastiques lorsqu’ils étaient mouillés, et quand on regardait le cheveux de plus près on se rendait compte qu’ils étaient tout gaufrés, des toutes minis gaufres, des minis zig zag, bref juste atroce. En encore j’avais de la chance, mes cheveux ne sont pas tombés, c’était limite d’après ma coiffeuse…

    Voici les photos du désastre :

    Mon histoire capillaire – Acte 1 la catastrophe

    Mon histoire capillaire – Acte 1 la catastrophe

     

    J’ai demandé à ma coiffeuse si elle pouvait rattraper le coup, la réponse fus rude :

    Coiffeuse :  « Non, il n’y a rien à faire, il n’y a plus qu’a attendre que ça repousse »

    Moi : Je me suis décomposée, je me suis sentie si mal avec mon ballot de paille sur la tête…  

    Coiffeuse : « Si je te coupe toutes les parties de cheveux abimés, il ne te restera même pas 3 cm sur la tête, je te propose donc de ne couper que les pointes pour le moment. »

    Moi : Dépitée « Allons y pour les pointes et concernant mes mèches ? »

    Coiffeuse : « Tu ne peux plus rien faire à tes cheveux sinon ils vont tous tomber, tu es condamnée à laisser pousser tes cheveux et a avoir la démarcation entre ta vraie couleur et les mèches blondes »

    Moi : Je vais aller me cacher pour pleurer, des cheveux secs avec une démarcation horrible comme celle que j’ai pu voir sur d’autres filles en me disant, «mais que c’est moche, ça fait vraiment négligée. »  Là, sur le coup, j’avais envie de m’enfermer dans une grotte et ressortir qu’une fois que mes cheveux auraient repoussés.

    Coiffeuse : « Au fait, évites de faire des brushing car ça va les dessécher encore plus ! »

    Moi : « au point où on en est… »

    Je suis partie donc de chez le coiffeur, la boule au ventre, avec une coiffure immonde sur des cheveux immondes, condamnée à ressembler à une chanteuse de Roch complètement grunge avec ses cheveux bicolores alors que ce n’est pas du tout mon style. Il fallait que j’assume maintenant… bien difficile épreuve.

     Après tout on se raisonne toujours, non ?

    Je suis en bonne santé, je suis bien entourée, je mange à ma faim et j’ai un toit sur la tête, alors… ben alors tout va bien (malgré cette p****n de coiffure de m***e)


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